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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 05:11
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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 04:58

 

 

"Dans ce monde si déconcertant, apparemment livré au chaos,  le pessimisme s’installe un peu partout.

 

Je voudrais apporter une touche d’espoir.

 

Dans la théorie de l’évolution des espèces de Darwin, cette évolution va jusqu’à l’être humain, c’est à dire  : nous, le corps humain tel qu’on nous le présente. Puis s’arrête. Or…

 

Lorsque je vois ma Véritable Nature,

Je découvre qu’au-delà de l’anatomie enseignée dans ce monde, 

il y a cette autre dimension tristement oubliée : pour les autres, nous avons une tête, mais pour nous-même, au-dessus de nos épaules il est ÉVIDENT que c’est Espace Infini dans lequel apparaît le monde.

 

CET ESPACE INFINI, CONSCIENT, VIDE POUR ACCUEILLIR LE MONDE : 

ce n’est pas la conscience individuelle, mais LA CONSCIENCE UNIVERSELLE, 

Car  chacun de nous qui regarde attentivement au-dessus de ses épaules (et Douglas, ses amis et moi-même avons fait les expériences inventées par lui avec des milliers de personnes dans le monde, et elles ont toutes vu la même chose), on peut donc dire que c’est un test scientifique, parce que confirmé des milliers de fois. Ils ont tous vu la même chose, c’est à dire le même espace infini conscient vide pour accueillir le monde, tout simplement parce qu’on ne peut pas voir autre chose ! : 

Il s’agit donc bien de  LA CONSCIENCE UNIVERSELLE qui nous anime tous.

 

Ayant découvert cela, je puis dire :

 

1)  comme tous les êtres humains ont la même formule sanguine, 

tous les êtres humains ont au-dessus de leurs épaules le même Espace Infini de Conscience, vide pour accueillir le monde — 

ce qui prouve une fois de plus l’inanité du racisme. 

Tous les êtres humains (et je dirais même tous les êtres vivants) 

regardent à partir de ce même Espace de Conscience lumineux, grand ouvert,

que l’on voit clairement dans le regard des nouveaux-nés. 

Espace très vite obstrué, hélas!,  par le personnage et son costume que nous devons jouer. 

Mais « nous ne sommes pas obligés de nous limiter aux coutures du costume, 

car La Conscience Infinie Lumineuse est derrière » comme l’écrit si merveilleusement le poète Jacques Goorma (voir « LE Séjour »).

 

2) Je crois que l’évolution Darwinienne n’est pas terminée. 

Nous entrons dans la période de l’Evolution de La Conscience.

Car il y a plusieurs niveaux de conscience , 

et on voit bien qu’un mouvement important se dessine vers la grande Ouverture  

Nous sommes aux premiers nivaux de cette Conscience

( la Pleine Conscience, la Méditation, le Yoga etc…) 

Ce mouvement est de plus en plus répandu dans une grande partie du monde, 

avec de plus en plus d’ardeur, 

alors qu’il était largement méconnu, du moins en occident.

 

Ainsi, la plus belle contribution que chacun de nous qui voit sa véritable nature, 

cette CONSCIENCE LUMINEUSE derrière toutes choses, 

puisse apporter à l’évolution positive de l’humanité, 

et donc l’union avec tous les êtres,

c’est … ai-je besoin de le dire ?… partager cette découverte de la CONSCIENCE LUMINEUSE en chacun de nous. 

Partager comme nous le pouvons, tout simplement peut-être en la vivant nous-même et la laissant rayonner.

 

Certes, nous ne pourrons pas changer le monde en une vie: il faudra peut-être encore un ou deux siècles, mais commençons dès maintenant , comme le plus long fleuve du monde a commencé il y a des siècles par de multiples filets d’eau de source descendant des hautes montagnes qui ont fini par s’unir pour former un énorme fleuve. 

 

Commençons dès maintenant à contribuer au lancement de l’Evolution de La Conscience Universelle. Pour nous-mêmes et surtout pour les générations futures."

 

Catherine Harding

 

http://eveilphilosophie.canalblog.com/


 

Catherine Douglas: "Evolution de LA CONSCIENCE."
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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 04:41
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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 04:21

 

"Ce moment est toujours frais et nouveau.

Le temps est une histoire merveilleuse, mais est-ce vraiment réel?

 

L'esprit humain raconte toute une histoire. Les notions de minute, heure, semaine, mois et année sont conceptuelles. Le temps est un film projeté par l'esprit. Peu importe votre apparence, vous ne sortirez jamais devant votre porte et  ne toucherez  quelque chose appelé «heure», «semaine», «mois», «année», «nouvel an», «passé», «avenir». Ou le "temps. "

 

L'existence du soi lié à la pensée et lié au temps dépend du fait que l'illusion du temps continue d'être soutenue par une identification psychologique incessante avec des pensées du passé, du présent et du futur.

Bien que l'esprit ait tendance à «entrer» dans le temps pour se sentir soi-même, remarquez-vous que le passé et l'avenir ne sont que des pensées qui surgissent actuellement?

En fait, même le mot «maintenant» est une pensée.

 

Voyez-vous que vous êtes ici, que ces pensées naissent ou non? 

Ce moment est toujours nouveau.

Les concepts de début et de fin, de moi et ma vie, et mon passé et mon avenir sont vus comme des histoires.

Il n'y a que l'espace intemporel dans lequel les concepts de temps apparaissent et tombent. »

 

Scott Kiloby

 

https://kiloby.com/this-moment-is-ever-fresh-and-new/

 

Scott Kiloby: "Ce moment est toujours nouveau. "
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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 04:17
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1 avril 2019 1 01 /04 /avril /2019 03:57

 

"Le but du Satsang est de reconnaître en nous la Vérité. Satsang est un mot sanskrit provenant de deux mots, sat signifiant être, et sangha venant du mot rassemblement, compagnie ou union. Il s'agit donc d'un rassemblement autour de la Vérité, être en compagnie de la Vérité. Non pas de la vérité qui serait détenue par quelqu'un, une vérité personnelle, mais de la Vérité de l'être, la Vérité que chacun est déjà en essence, mais qui n'est peut-être pas encore pleinement réalisée. Le but du Satsang est donc de reconnaître cette Vérité en nous, de la réaliser.

 

L'inscription placée sur le fronton du temple de la pythie de Delphes, le fameux "Connais-toi toi-même" dans l'antiquité grecque, que Socrates a rendu célèbre, est bien plus qu'un simple impératif moral comme le suggérait Kant(Doctrine de la vertu, p 299), bien plus également qu'une simple invitation à connaître le moi psychologique.

Le "connais-toi toi-même" est pour moi l'invitation atemporelle et universelle de l'humanité depuis sa chute (voir le livre passionnant de 
Steve Taylor
 à ce propos, La Chute ) pour sortir de la transe dans laquelle elle est plongée depuis 6000 ans et à réaliser la vraie nature du Soi, l'essence de l'Être en nous et retrouver le paradis qui n'avait en réalité jamais été perdu autrement qu'en imaginaire.

 

 

La connaissance de notre véritable essence est la pierre philosophale de la véritable philosophie, qui  étymologiquement signifie "amour de la sagesse". La philosophie au sens profond, c'est ainsi que SocratesPlatonParménide et quelques autres l'entendaient du moins, est un chemin de connaissance de soi, un chemin de retour vers notre véritable essence. Cette connaissance ne pouvait se révéler que par un abandon de nos fausses identifications, de nos prétentions à savoir et par un authentique retournement vers le cœur de notre être.

 

Je dois néanmoins concéder que ce n'est certes pas ainsi que j'ai vécu la philosophie, pendant mes années d'études à la Sorbonne. En effet, à part quelques rares enseignants inspirées, l'enseignement n'était qu'un empilement formel de savoirs déconnectés de la vie et du vivant et consistait essentiellement en des pratiques que je pourrais qualifier de sophistiques. On apprenait essentiellement à répéter la pensée d'autres philosophes avec plus ou moins de clarté et de pertinence, à les mettre en perspective, à les résumer et à les comparer. C'était un peu l'histoire des croyances. Nous n'étions pas réellement invités à nous questionner sur nous-même, sur un au-delà des pensées et des croyances, et l'injonction "connais-toi toi-même" n'était bien sûr pas de mise !

 

La philosophie en occident semble s'être enfermée dans des joutes intellectuelles totalement infécondes, et l'oubli de l'être dont parle Heidegger se retrouve dans la façon dont la philosophie s'enseigne la plupart du temps au lycée ou à l'université. 

 

Néanmoins, le sens profond de la philosophie est bien de nous permettre de nous connaître tel que nous sommes vraiment et rejoint par là l'essence de l'enseignement des Upanishads. 

 

C'est en tombant sur un livre de Krishnamurti en 1994, "La première et la dernière liberté" que j'ai réalisé à quel point je me fourvoyais au travers de ces études et combien l'essentiel était en réalité simple. C'est là que je j'ai réalisé que ce que je pressentais depuis si longtemps, était exprimé en des termes bien plus simples, directs et pratiques, par des auteurs et des traditions hors du cercle très fermé et sentant le refermé de la philosophie occidentale.

 

 

 

Pierre de Courcelles dans son livre consacré à ce fameux précepte ("Connais-toi toi-même de Socrates à Saint Bernard", 1974) remarque que l'une de plus célèbres maximes de l'humanité n'a pas d'auteur connu. Et René Guénon écrit que cet anonymat "provenait d'un point de vue plus élevé rejoignant la source même de l'inspiration originelle, spontanée et divine". (voir livre Mélanges, ensemble d'articles passionnants de René Guénon, paru chez Gallimard en 1990).

 

Je me souviens moi-même de la joie à trouver, après avoir vécu en 1998 durant de longs mois, une expérience d'unité bouleversante pour laquelle je n'avais nulle explication et nul véritable soutien extérieur, en exergue du livre de Marguerite Porete, un extrait du poème qui ne sera que plus tard attribué à Maître Eckhart, le fameux Grain de Sénevé et, de voir qu'il avait était - semble-t-il, écrit par un "contemporain du miroir" c'est à dire un anonyme.

 

Je réalisais alors eu ce que je vivais de façon spontanée, sans pouvoir me référer à une tradition que je ne connaissais pas encore, venait de la source impersonnelle et que plein d'humains avaient nécessairement, en des temps, des lieux et des cultures différents vécus cette unité inexprimable avec toute la création, et réalisé l'essence de la vie.

D'ailleurs plus tard lorsqu'il m'a été donné de lire et de sentir les plus grands textes de l'humanité, comme le 
Vijnana Bhairava Tantra, Les Upanishad majeures, la Baghavad Gita, l'Astavakra Gita ou le Vasishta Yoga, l'évangile de Thomas et tant d'autres, on réalise qu'il n'y a pas d'auteur connu. Tous les textes authentiques, qui nous parlent de la Vérité impersonnelle, semblent avoir été insufflé par l'Éternel. Et, dans ces hauteurs himalayennes, il n'y a nulle appropriation ou besoin de rapporter les textes à des entités séparées. Ils semblent surgir du Silence. Et qu'importe le nom des scribes, puisque la Vérité dont ils témoignent est la même Vérité atemporelle, retranscrite en des brèches spatio-temporelles variées.

 

Comme je n'avais pas de mots pour décrire ce que je vivais après cette expérience d'éveil, je demeurais la plupart du temps en silence. Mais j'avais photocopié ce poème et en gardais pendant quelques années toujours plusieurs exemplaires dans mon sac à dos, au cas où je rencontrerais quelqu'un qui aurait envie de parler de ce que je ne pouvais formuler avec des mots aussi parfaits que ceux de Maître Eckhart, dont je ne savais pas encore ni le nom ni le merveilleux enseignement.

 

Rappelons-nous qu'il semble que la véritable formulation de l'inscription du temple de Delphes n'était pas simplement "Connais-toi toi-même" mais Connais-toi toi-même et tu connaîtras l'univers et les dieux".  

 

En se connaissant soi-même on accède ainsi à ce par quoi tout est connu, la connaissance, la conscience, l'essence de la manifestation. 

 

Dans la Kéna Upanishad qui signifie, l'Upanishad de "Ce par quoi" (Kena), il est dit :

 

"Ce n'est par ce que voit l'œil mais ce par quoi l'œil voit, tel est le Brahman, (c'est à dire l'absolu) et non cela que l'on honore comme tel (c'est à dire les formes divines, les faux dieux)."

 

René Guénon, grand spécialiste de l'Islam rappelle dans son article cité plus haut qu'un hadith du prophète Mahomet disait la même chose :

 "Qui se connaît soi-même connaît son seigneur".

 

Clément d'Alexandrie disait également : 

"La plus grande de toutes les connaissances, c'est donc, à ce qu'il semble, la connaissance de soi-même : en effet, celui qui se connaît lui-même aura le savoir du Dieu, et celui qui sait Dieu se rendra complètement semblable à Dieu."

 

Maître Eckhart disait également : 

"L'œil par lequel je vois Dieu est le même œil par lequel Dieu me voit".

 

Ainsi lorsque vous tournez l'attention vers ce qui en vous perçoit, vers Vous, comme dans la pratique du doigt qui pointe dans la Vision sans Tête de Douglas Harding, l'absence de tête et de perspective personnelle qui se révèle, révèle également la Présence de Dieu, le Je suis dont Jésus dit : 

"Avant qu'Abraham ne fût, je suis", le Je suis qui est le Je suis de Dieu Lui-même, la lumière, qui lorsque Moïse lui demande se définir répond: 

"Je suis ce que je suis" ou "Je suis Celui qui est" selon les traductions.

 

Ainsi l'Espace de vacuité consciente que vous découvrez en vous-même lorsque vous cherchez à vous connaître Vous-même  tel que vous êtes vraiment en essence, est le regard de Dieu contemplant le monde, ni plus ni moins.

L'espace que vous découvrez au-dessus de vos épaules, n'a en réalité ni forme, ni couleur, ni attributs, ni caractéristiques, ni identité, ni âge, ni désir, ni peur, ni préférences. Il dit oui à tout ce qui est.

Il est ce par quoi tout est connu, à la fois totalement détaché du monde, des créatures, du corps, (des sensations) et du mental (des pensées) ET en même temps en parfaite intimité avec tout ce qui en Lui apparaît car tout apparaît à 0 cm de Lui et donc tout apparaît EN TANT que Lui, en Tant que VOUS.

 

Et Vous êtes cela comme le dit la grande mahavakya (sentence) de la Chandogya Upanishad (Tat tvam asi = Tu es Cela).

 

Je te souhaite lecteur, d'avoir le courage et l'impertinence de retourner la flèche de l'attention vers cela qui en toi perçoit et de découvrir ce qui ne change pas.

 

Quand ?

Maintenant !

 

Où ?

Ici même !"

 

Dan

 

https://eclore-en-conscience.blogspot.com/

Dan: "L'essentiel était en réalité simple."
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31 mars 2019 7 31 /03 /mars /2019 06:22
Il faut imaginer Jésus et Sisyphe  heureux (et amis)...

Il faut imaginer Jésus et Sisyphe heureux (et amis)...

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31 mars 2019 7 31 /03 /mars /2019 06:20
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31 mars 2019 7 31 /03 /mars /2019 06:18

 

"Quoi que ce soit, cesse à l’instant d’essayer de le comprendre.


Laisse la chose demeurer non résolue pendant un petit moment.


Cesse d’essayer l’avance rapide jusqu’à la scène de la "réponse" dans le film de ta vie.


Aie confiance dans la présente scène du " pas encore de réponse ".


Accorde à la question elle-même de l’espace pour respirer et être fertilisée.

Détends-toi dans le mystérieux sol de Maintenant."



Jeff Foster

"

Jeff Foster: "Détends-toi dans le mystérieux sol de Maintenant."
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31 mars 2019 7 31 /03 /mars /2019 06:07
Image-citation du jour.
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"Et ceci est ce qui arrive… lire ces mots, entendre des sons, ressentir, penser « alors, et après ? ». Et bien « après » est encore ceci ! la Vie étant simplement ce qui est… l’avènement dans l’anéantissement, la fin dans le commencement, le rien dans le tout."
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Le Paradis est déjà là !



"Nous prétendons que nous avons perdu la paradis seulement pour la joie de le retrouver à nouveau. Quand le paradis est retrouvé , il est réalisé qu' il n' avait jamais été perdu.
Mais aussi longtemps que nous cherchons le paradis, il est impossible de remarquer qu'il est déjà là."
                                                                                                                                         Richard Sylvester

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Relaxe toi, tu es déjà arrivé !

Vous imposez des limites à votre véritable nature d'être infini, puis vous vous désolez de n'être qu'une créature limitée, ensuite vous mettez en œuvre des pratiques spirituelles pour transcender ces limites inexistantes. Mais si votre pratique même implique l'existence de ces limites, comment pourraient-elles vous permettre de les transcender ?        

                                                                                                                                              Ramana

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