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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 09:33
Humour du jour.
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 09:29

"

"Les gens que je ne supporte pas

 

sont mes meilleurs enseignants."

 

Byron Katie

Citation du jour.
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 09:28
Image-citation du jour.
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 09:24
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 08:52

 

« Ajoutons encore que la mise en cause de l’existence de l’ego en tant qu’entité séparée doit, pour être effective et donc dangereuse du point de vue du mécanisme de la séparation, se faire pour ainsi dire «sur pièces» et non dans quelque royaume purement conceptuel.

Je veux dire par là que les enseignants qui, avec plus ou moins de talent et d’authenticité serinent à longueur de conférences et autres partages la «vérité métaphysique» de la non-existence de l’ego ne dérangent en fin de compte personne. Au fil de mes quelques trente-cinq années de cheminement, et plus encore ces dix dernières années, j’ai entendu beaucoup de personnes me déclarer qu’elles optaient désormais pour la «voie directe», celle consistant à de suite mettre en cause l’existence même de l’ego plutôt que de s’égarer dans une exploration sans fin de ses fonctionnements et mécanismes. Cette affirmation était en général emprunte d’une condescendance à l’égard de tous les pauvres chercheurs n’ayant pas encore, on se demande d’ailleurs bien pourquoi, opté pour la «voie directe» de préférence aux chemins «indirects». J’ai souvent été frappé de constater que la plupart de ces adeptes de la voie dite «directe» me paraissaient coupés de leur ressenti, fort peu enclins à regarder en face les faiblesses et contradictions bien ordinaires de leur humanité, autrement dit leur propre souffrance, et de ce fait d’autant plus empressés à proclamer de manière dogmatique et parfois agressive la supériorité de leur approche implicitement considérée comme supérieure à toutes les autres, voire comme la seule et unique voie digne de ce nom.

Admettre intellectuellement la non-existence de l’ego en tant que « moi possesseur, contrôleur et séparé – pour peu qu’on aille jusqu’à ce degré de précision – est une chose ;

voir cette illusion s’affirmer dans notre relation à nous-mêmes et à nos proches à partir d’«échantillons» ordinaires, pour ne pas dire médiocres, en est une autre.

Oui, ces échantillons mettent en jeu notre «psychologie» ; et, non, les voir, les reconnaître et en tirer les leçons ne relève pas de la seule «thérapie» mais bien de la vie «spirituelle», pour peu que la perspective soit bien là.

Je pense ici à une fameuse histoire : deux hommes déplacent des pierres. À la question : «que faites vous ?», l’un répond, «je déplace des pierres», l’autre «je construis une cathédrale»."

 

Gilles Farcet

 

 "Guérir l’ego ou guérir de l’ego ?"

Gilles Farcet: "Voir cette illusion s’affirmer dans notre relation à nous-mêmes et à nos proches."
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 08:39
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 08:35

 

"Quand la vie met en évidence tes failles cachées,

évite de
t'identifier au réflexe de les justifier

ou

de les protéger.


Au lieu de cela, ouvre ton cœur à la possibilité de transformation

et
de transcendance

en disant "Oui" au fond de ton être.


Tombe pleinement dans l'étreinte du Seigneur à l'intérieur de toi."

 

 Mooji

Mooji: "En disant "Oui" au fond de ton être."
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 08:30
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11 juin 2018 1 11 /06 /juin /2018 08:20

 

"Il est indispensable de poser le problème de la souffrance physique liée à la mort : on se demande naturellement comment parvenir à un réel lâcher-prise en face d'une douleur aiguë.

La première chose à clarifier est que la douleur doit être vue comme un objet parmi d'autres, dans la perspective que, fondamentalement, nous ne sommes pas un objet et ne pouvons pas avoir peur ou ressentir la douleur. Nous devons donc être absolument clairs au sujet de notre profonde non-implication dans les événements qui entourent la sensation nommée par nous douleur ou maladie.

Nous ne pouvons pas dire : « J'ai peur, j'ai mal, je suis en train de mourir », parce que le « je» n'a pas changé et ne change pas. C'est le corps qui éprouve la sensation et c'est le mental qui crée la peur.

Une fois que l'on voit clairement ce que l'on n'est pas — le corps et les sensations, le mental et ses pensées, la souffrance est réduite de manière considérable.

Alors on peut faire face directement à la sensation, à la maladie, sans interférence psychologique.

La douleur, comme tout objet, pointe vers notre vraie nature. Elle doit être vue de façon objective, en face de nous, comme si le corps appartenait à quelqu'un d'autre. En l'objectifiant, nous en sommes extirpés, nous ne sommes plus noyés dans la maladie, la sensation. Et, dans l'espace psychologique ainsi créé, il y aura un aperçu de la véritable liberté à l'égard de ce fardeau. Il ne suffit pas de vaguement constater cette brève sensation de détachement. Nous devons nous intéresser vraiment à cette sensation de liberté, c'est-à-dire en faire à son tour un objet d'attention, se nourrir et vivre dans cette libre sensation. Avec elle vient la conviction que l'on n'est ni le corps sain, ni le corps malade."

 

Jean Klein

Jean Klein: "La douleur, comme tout objet, pointe vers notre vraie nature. "
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10 juin 2018 7 10 /06 /juin /2018 18:30
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Présentation

  • : Le blog de RV
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  • : Bavardage sur le Tout en particulier et le Rien en général. Psittacisme sur Ce qui est. Textes , vidéos; citations, images sur la non-dualité (advaita védanta, shivaisme du Cachemire, soufisme, dzogchen, zen, chan, mystique chrétienne, néo advaita, éveillés sauvages, spiritualité laïque non-duelle,...)
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"Et ceci est ce qui arrive… lire ces mots, entendre des sons, ressentir, penser « alors, et après ? ». Et bien « après » est encore ceci ! la Vie étant simplement ce qui est… l’avènement dans l’anéantissement, la fin dans le commencement, le rien dans le tout."
                                                                                                                                                 Tony Parsons

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Le Paradis est déjà là !



"Nous prétendons que nous avons perdu la paradis seulement pour la joie de le retrouver à nouveau. Quand le paradis est retrouvé , il est réalisé qu' il n' avait jamais été perdu.
Mais aussi longtemps que nous cherchons le paradis, il est impossible de remarquer qu'il est déjà là."
                                                                                                                                         Richard Sylvester

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Relaxe toi, tu es déjà arrivé !

Vous imposez des limites à votre véritable nature d'être infini, puis vous vous désolez de n'être qu'une créature limitée, ensuite vous mettez en œuvre des pratiques spirituelles pour transcender ces limites inexistantes. Mais si votre pratique même implique l'existence de ces limites, comment pourraient-elles vous permettre de les transcender ?        

                                                                                                                                              Ramana

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