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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:42

 

"La vraie connaissance signifie être vide, vide d'identité, vide de la croyance et de l'attachement au conditionnement psychologique.

Il y a un grand espace et un grand silence ici, dans la vacuité.

Une sublime intelligence observe à partir de cet espace en tant que le Soi insondable.

Tu es un avec Celui-ci.

Cette unité est l'amour et la Vérité."

 

Mooji

Mooji: "La vraie connaissance signifie être vide."
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:40
Image-citation du jour.
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:34
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:30

 

"Regardez dedans ne peut pas être un simple “truc”. La motivation avec laquelle nous rencontrons la Source n’est pas sans effet. Dans l’élan que nous y mettons, il devrait y avoir un caractère “dévotionnel” dans le sens de ressentir gratitude et respect envers la Source.

Regarder en soi n’est pas une méthode, mais devrait être vécu comme un “retour”, comme le fait de regagner le “chez-soi”. Si nous n’expérimentons pas la qualité et le confort que cela procure, alors il ne s’agit pas du “bercail”. Alors, nous ne pouvons pas connaître la fin de l’errance.

Nous ne pouvons pas goûter le repos ni le contentement sans égal d’être rentrés dans l’unique “Demeure”.


Denis Marie

 

http://mystiqueordinaire.presencevive.fr/l-unique-demeure/

Denis Marie: "Regarder en soi n’est pas une méthode."
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:28
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:22

 

"Noël c’est symboliquement la naissance « Je Suis » (Jésus) au sein de l’âme devenue vacuité (la vierge) . Il ne s’agit pas de trouver mais de faire la place.

Il y a bien des pratiques et des formes pour « faire la place ». Lorsque ces pratiques et ces formes deviennent « la » vérité, elles remplissent l’âme au lieu de la vider, elles deviennent ce qui sépare de ce qui est cherché, elles jettent les chercheurs des différentes voies dans une lutte fratricide.

Aujourd’hui frémit partout la prise de conscience que ce qui est cherché est le lieu de rencontre avec l’autre dans cette recherche « du même » à travers des formes différentes. Frémissement du retour à l’essence, détachement de la forme dans le sérieux d’une pratique qui, de fait, se fait à travers une forme rigoureuse, comme le pont par lequel je marche vers l’autre rive, qu’il soit suspendu, de bois, de fer, ou simple tronc d’arbre jeté d’une rive à l’autre.

Les ponts sont différents, l’autre rive est même.

Aujourd’hui la quête de l’autre rive semble vouloir prédominer sur l’idolâtrie de son propre pont, ouvrant sur la rencontre avec l’autre, en son essence, dans le respect de la forme unique qui mène chacun, chacune, au-delà du moi, à Dieu, au Soi, à Cela.

Et la fête de Noël c’est la fête de l’autre rive, pas du pont qui y mène.

Belle fêtes de Noël."

 

François Malespine

 

https://lartdefrancoismalespine.wordpress.com/2018/12/22/dun-jour-a-lautre-357-noel/

François Malespine: "Il ne s’agit pas de trouver mais de faire la place."
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:20
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:18

"Rébellion est une action individuelle; elle n’a rien à voir avec la foule.


Rébellion n’a rien à voir avec la politique, le pouvoir, la violence.


Rébellion à quelque chose à voir avec le fait de changer votre conscience, votre silence, votre être.


C’est une métamorphose spirituelle."

 

Osho

Citation du jour.
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:16
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23 décembre 2018 7 23 /12 /décembre /2018 10:08

 

"Vis comme si tu devais mourir demain, fais ce que tu dois faire comme si tu devais vivre éternellement.

Les mondes dits modernes ont oublié cette sagesse.

Aujourd’hui nous vivons comme si nous ne devions jamais mourir et nous agissons comme si nous allions disparaître dans l’instant.

Si nous vivions dans la réalité de notre impermanence, nous nous attacherions à ce qui est vraiment important. Nous nous efforcerions d’entrer en conscience de nous même et de l’autre.

Nous serions dans la quête de l’instant, et de fait, au cœur de la vie.

Au cœur de l’instant, le monde nous dévoile son sens, et dans ce dévoilement, devient le miroir par lequel et en lequel notre visage nous est dévoilé, ici et maintenant. Cette entrée en connaissance de ce que nous sommes, provoque toujours un voyage intérieur menant de « notre » monde, « au monde », menant de « moi » à « Je ». Non sous l’effet d’une culpabilité ou d’un jugement de nous-même, mais par la grâce d’une saveur particulière d’un moi que nous découvrons comme ce qui nous sépare de ce que nous cherchons depuis toujours : vivre, aimer, être.

Alors nous apprenons à faire chaque chose dans l’éternité de l’instant, sans hâte ni paresse, sans rien à obtenir. Notre vie se déroule dans la vision des réactions qui surgissent en nous face aux situations que nous rencontrons, et au cœur de cette vision naît une tentative nouvelle : devenir réponse à ce qui est, au lieu de tenter mécaniquement et sans le voir, d’imposer notre monde à ce qui est.

Cela devient la pratique sur le chemin, car en tentant de devenir réponse nous entrons, de fait, dans la dissolution du « moi ». Nous sommes alors sans intention autre que de tenter de faire vraiment ce qui est à faire, comme le jardinier simplement présent et attentif à la terre dont il prend soin.

Aujourd’hui, la terre est exploitée avec comme seul but le fruit qu’on va lui extorquer, et chacun vit ainsi : « dans le seul but d’avoir, dans le seul but du fruit ». Et dans cette obnubilation de l’avoir, non seulement nous produisons notre propre souffrance et celle de l’autre, mais nous oublions le sens de notre venue sur terre, le sens d’une vie. Obnubilé, nous ne sommes ni présent, ni conscient, simple jouet de nos pensées conditionnées, de nos croyances conditionnées, de nos appartenances conditionnées, de nos émotions conditionnées, de notre identité formatée et aliénée.

La quête spirituelle concerne toujours la dissolution d’un moi formaté et devenu connu. 

La quête spirituelle mène toujours de « moi » uniquement réactif, à « Je » uniquement réponse.

La vie mécanique et obnubilée ne permet pas la connaissance et condamne à la prédation.

Quand cette vie obnubilée devient trop douloureuse la conscience se retourne, le regard suit, peu à peu l’œil s’ouvre et voit, l’oreille entend. Alors l’incarnation, à travers ses désirs et ses peurs, son égoïsme et son besoin de l’au-delà de l’égoïsme, devient lieu de la connaissance, le lieu du dévoilement de la formation de la conscience identifiée « je suis moi », de ses fruits, et finalement le lieu du dévoilement de la nature de l’esprit, conscience originelle « Je », sans aucun contenu, ni vouloir, ni attente, juste le « Je Suis » de Yahvé à Moïse . Mais cela ne peut être vu avant d’être vécu ; ici la pensée n’est d’aucun secours.

Quand le « voir » apparaît et remplace le « penser », l’être est béni."

« Vous n’avez pas besoin

d’aspirer à un nouvel état d’être.

Débarrassez-vous de vos

pensées actuelles, c’est tout.»

Ramana Maharshi

 

François Malespine

 

https://lartdefrancoismalespine.wordpress.com/2018/12/22/dun-jour-a-lautre-357-noel/

François Malespine: "Quand le « voir » apparaît et remplace le « penser », l’être est béni."
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"Et ceci est ce qui arrive… lire ces mots, entendre des sons, ressentir, penser « alors, et après ? ». Et bien « après » est encore ceci ! la Vie étant simplement ce qui est… l’avènement dans l’anéantissement, la fin dans le commencement, le rien dans le tout."
                                                                                                                                                 Tony Parsons

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Le Paradis est déjà là !



"Nous prétendons que nous avons perdu la paradis seulement pour la joie de le retrouver à nouveau. Quand le paradis est retrouvé , il est réalisé qu' il n' avait jamais été perdu.
Mais aussi longtemps que nous cherchons le paradis, il est impossible de remarquer qu'il est déjà là."
                                                                                                                                         Richard Sylvester

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Relaxe toi, tu es déjà arrivé !

Vous imposez des limites à votre véritable nature d'être infini, puis vous vous désolez de n'être qu'une créature limitée, ensuite vous mettez en œuvre des pratiques spirituelles pour transcender ces limites inexistantes. Mais si votre pratique même implique l'existence de ces limites, comment pourraient-elles vous permettre de les transcender ?        

                                                                                                                                              Ramana

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