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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 11:39

 

« Rien de réel ne peut être menacé.

Rien d’irréel n’existe.

En cela réside la paix de Dieu »

 

Un Cour en miracles

Citation du jour.
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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 11:32
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12 novembre 2016 6 12 /11 /novembre /2016 11:25


"La plupart d'entre vous qui lisez ces lignes avez probablement déjà vu des dizaines de vidéos, pratiqué l'investigation du soi, médité des centaines d'heures, lu des livres sur la non dualité. Vous êtes peut-être un(e) habitué(e) des rencontres non duelles depuis de nombreuses années et vous sentez que vous avez déjà une meilleure compréhension de votre vraie nature, que votre vie s'articule d'une façon plus légère et qu'en tout cas des progrès ont d'une certaine manière été accomplis.

Il est vrai qu'il peut sembler paradoxal de parler de réalisation de notre vraie nature sur un plan progressif, puisque tous les enseignements disent clairement que vous êtes déjà ce que vous cherchez et qu'il n'y a par conséquent rien à attendre ou à atteindre ailleurs ou plus tard qu'Ici et Maintenant. 

Pourtant, même si sur un plan relatif, nous avons tous eu ce sentiment d'avoir progressé, d'être plus présent, d'être beaucoup plus proche de l'éveil qu'avant, la plupart d'entre nous avons également été confronté à ce sentiment pénible d'avoir atteint une sorte de limite très frustrante. Nous avons peut-être déjà eu ce sentiment que tout semblait avoir été plus ou moins compris et d'avoir parfaitement intégré l'enseignement de la non dualité. Nous avons connus des moments de paix et de bonheur relatifs sur des durées inégales. Nous sommes même parfois capables de dire à l'avance la réponse que tel ou tel enseignant va donner à une question posée. (Plusieurs amis m'ont partagé cette impression).

Et pourtant...

Loin de la promesse d'émerveillement et de félicité des débuts, loin de la joie inconditionnée et de la paix profonde dont parlent certains écrits ou enseignants, nous sommes saturés de mots, de concepts et de savoirs. Certains d'entre nous sommes devenus blasés, prisonniers d'une sorte de sentiment d'aquoibonisme qui confine à une sorte de dépression subtile. L'indifférence et la désillusion ont pris la place de l'immense espoir engendré par la rencontre avec les premiers écrits et les premiers satsang. L'ennui a pris le pas sur l'émerveillement qui avait embrasé de la recherche ? Il se peut même qu'une forme de colère commence à émerger. L'ironie, l'auto-ironie, le sarcasme et le cynisme font désormais partie de la palette de certains. J'ai récemment été confronté à ce type de réactions ou d'attitude en rencontre ou sur facebook au cours de dialogues écrits. Et cela me touche bien sûr. 

Que s'est il passé ? Pourquoi cette incapacité à nous étonner ? Qu'est-ce qui nous retient ? Nous le comprenons mentalement et nous sommes peut-être capables de l'expliquer en des termes qui feraient blêmir les meilleurs pédagogues non duels. Nous avons déjà permis à certaines émotions de faire surface au cours de notre vie, au cours de diverses thérapies divers beaucoup de choses ont été vues, et assimilées, et pourtant, quelque chose bloque encore et, quelque part nous nous sentons piégés, incapables d'aller de l'avant mais impuissants également à revenir en arrière. Nous nous sentons irrémédiablement coincés.

Dans mon expérience d'accompagné et d'accompagnant, tout blocage et tout sentiment d'insatisfaction, tout signe d'aquoibonisme, de "prétention à savoir", toute démonstration de cynisme ou d'agressivité, sont tous des pointeurs vers une même évidence : Nous n'avons pas encore permis à toutes les émotions d'être pleinement écoutées et ressenties. C'est aussi simple que cela. Il s'agit d'admettre qu'il y a encore en nous quelque chose qui n'a pas été pleinement exploré. Il y a quelque chose que nous refusons de voir, d'admettre en nous, de ressentir pleinement. Et ce refus de laisser toutes les émotions se manifester, court-circuite irrémédiablement toute investigation sur le Soi.

Après vingt ans d'accompagnement des êtres en souffrance et des émotions enfouies, je n'ai jamais vu une seule personne - jouant le jeu avec sincérité - ne pas connaître cette étonnante éclosion de la plénitude au cœur même du sentiment de manque, lorsque ce dernier était pleinement écouté au travers d'un jeu de révélation. 
Après voir été accompagne des centaines de fois et vécu en tant qu'accompagnant plusieurs milliers d'accompagnements, je puis affirmer sans exagérer, que le refus, la peur de faire face à des émotions sont certainement la cause principale du blocage que la plupart des gens ressentent sur leur chemin d'éveil à ce qu'ils sont déjà.

Dans ma propre expérience d'accompagné et d'accompagnant, il y a dans les premiers temps de l'investigation du Soi, de la thérapie ou du cheminement spirituel, des émotions de base qui remontent. Ce sont souvent des émotions liées à des croyances de base telles que par exemple "je ne suis pas digne d'être aimé", ou "je ne suis pas quelqu'un de bien", que beaucoup d'entre nous connaissions avant même de commencer notre investigation. Mais au fur et à mesure que l'investigation continue, des couches d'émotions de plus en plus profondes se révèlent.

Beaucoup d'entre elles ne peuvent pas forcément être expliquées ou être reliées à une croyance particulière. Vous pouvez vous sentir déprimé, opprimé, blasé, en colère, terrorisé, en panique, jaloux, honteux et il n'y a pas forcément de raisons particulières à ces expressions. Vous ne pouvez pas vraiment les relier à votre enfance ou à des expériences de votre vie d'adulte. Et, vous pressentez que même tenter de trouver une explication ou des liens comme on le fait en thérapie psychanalytique ou psychologique ne résoudrait rien. Ce sont simplement des émotions brutes qui remontent des profondeurs à la faveur des expériences de la vie et de l'auto-investigation en cours et, qui ne demandent qu'à être pleinement ressenties, écoutées.

Et c'est à ce moment-là que la plupart des êtres reculent. C'est trop. C'est bien sûr OK. Il n'y a aucun problème avec le fait de ne pas aller plus loin. Peut-être tout simplement que vous n'êtes pas prêts à ressentir certaines de ces émotions qui risquent évidemment de faire écrouler les derniers châteaux de cartes du mental. Quand vous serez prêts, cela se passera naturellement et vous rencontrerez éventuellement sur votre chemin des êtres susceptibles, si nécessaire (et cela peut l'être) de vous accompagner dans les angles morts et les zones d'ombre de vos émotions et de vos croyances transparents les plus enfouies.

Néanmoins, il me semble important de le remarquer, afin que nous ne nous racontions pas d'histoires inutiles et chronophages à ce propos. Amor Fati. Amour de ce qui est. 

 Car c'est à ce moment là que l'investigation du Soi entre dans un cercle vicieux. Et, la seule façon de sortir de ce cercle vicieux est de faire face à la peur. Tactilement, vibratoirement, sensoriellement. De ressentir plutôt que de penser la vie et les émotions. Or, ce n'est pas du tout évident de le faire tout seul quoi qu'on entende de-ci de-là. J'ai été accompagné pendant une quinzaine d'années par mon ostéopathe éveilleur à Aix en Provence, et je propose ce même accompagnement depuis 1998. Peu d'êtres sont prêts à une telle exploration directe dans le ressenti silence d'une écoute sans personne.

Le discours logique de l'advaita est un magnifique pointeur mais qui paradoxalement a pour certains un air rassurant et simple et qui attire beaucoup de gens ces dernières années. Mais une des raisons, je pense, pour lesquelles il attire autant de gens - et qu'il en laisse d'ailleurs beaucoup sur le carreau, devant une barrière qui leur semble infranchissable - c'est qu'il demeure pour la plupart très conceptuel. La plupart des gens éduqués et curieux entendent et comprennent le message. Un bon nombre l'applique jusqu'à un certain niveau de difficulté. Mais très rares sont ceux qui sont capables de faire face, seuls, à la terreur sourde qui peut émerger de profondeurs du corps lorsque celui-ci est écouté, senti, touché, sans aucune intentionnalité. Il n'y a aucun jugement. Un simple constat de 20 ans de pratique de l'accompagnement psycho-corporel et 4 ans de pratique de l'entretien non duel.

Je ne dis pas ici que chacun doit nécessairement passer par une sorte de nuit obscure de l'âme avec des émotions terrifiantes. L'ampleur et l'intensité des émotions variera selon chacun. Ne vous comparez à personne. Je dis juste que, lorsque l'on accepte de se rendre vulnérable et lever le couvercle, il y a beaucoup plus de choses cachés en nous que nous voulions bien l'admettre en premier lieu. C'est ainsi. Et je le constate à chaque rencontre, chaque retraite. Et, en ce cas, jouer au jeu des joutes intellectuelles de bon aloi, comme par exemple rétorquer "qui ressent l'émotion", "il n'y a personne qui ressent", bref, s'empêtrer dans discussions non-duelles à la "mords-moi le nœud" et d'infinies prétentions à savoir, dans le seul but d'éviter de faire face à ce qui en vous vous fait signe depuis si longtemps ne vous sera bien évidemment d'aucune utilité et ne fera que retarder l'échéance.
Nous sommes là pour reconnaître la vie que nous sommes et cela se passe inéluctablement par le ressenti de ce à quoi nous résistons. 

Soyez juste conscients que si vous êtes attirés par la non dualité et la spiritualité authentique, si vous avez le pressentiment que vous êtes déjà ce que vous cherchez, et que pourtant, vous ne le vivez pas pleinement, acceptez que c'est peut-être que vous n'avez pas encore laissé toutes les émotions remonter à la surface. Le piège principal est effet de croire que l'on pourrait tricher avec elles et parvenir à la réalisation du Soi (que vous êtes certes déjà), mais en tout cas s'établir pleinement dans cette Présence silencieuse en relation avec les autres et le monde, tout en évitant de sentir certaines choses. 

La voie directe nous enseigne certes que nous pouvons réaliser notre vraie nature Ici et Maintenant, par une compréhension qui n'est pas seulement conceptuelle de ce que nous ne sommes et qui invite à une sorte de saut intuitif permettant de se reconnaître Conscience unitive. Et c'est vrai.

Cependant, vu la constitution d'un être humain occidental moyen du 21eme siècle et son lot impressionnant de conditionnements à tous les niveaux, d'histoires et de fictions, le nombre de concepts et d'images de soi et de la vie accumulées dans le mental et le corps, si vous ne passez pas par le ressenti des émotions, toute quête authentique de réalisation de soi est statistiquement vouée à l'échec d'avance pour la plupart. 

Si vous refusez de passer par là, ouvrez-vous au moins à la possibilité que ce soit peut-être une résistance et explorez-là avec les outils ou les accompagnants à votre disposition. Réifier la Conscience ou le Témoin, pour se détacher artificiellement des émotions dans une sorte de posture héroïque est vraiment le piège principal et, j'en sais quelque chose. Je ne parle que depuis ma propre expérience. Une grande partie des gens qui viennent me voir en séance individuelle ont une grande affinité avec la non dualité, et semblent avoir déjà compris et assimilé le discours mais se sont trouvés d'une façon ou d'une autre piégés par cette prétention à savoir qui ne résout en rien le ressenti. Et nous sommes nombreux à être tombés dans ce piège. Le reconnaître c'est reconnaître que vous n'êtes pas ce piège. Ici l'honnêteté est le seul ingrédient important. Et, lorsque je dis honnêteté, je ne parle pas d'une honnêteté morale (Mais l'un n'exclut bien sûr pas l'autre). Je veux parler de l'honnêteté qui consiste à reconnaître lorsque nous sommes tendus et que nous souffrons. Être malhonnête, pour moi c'est lorsque quelqu'un vous pose la question "que ressentez-vous", et que cela déclenche une spéculation intellectuelle à propos de ce que vous "devriez ressentir" plutôt que de le ressentir tout simplement, sans commentaires.  

La compréhension et le ressenti silence sont les deux faces d'une même réalité. Et je ne conçois pas un "enseignement" qui ne soit pas ouvert sur ces deux aspects de la réalité Une et indivisible. 

La plupart du temps les enseignements de non dualité mettent surtout l'accent sur la compréhension. 
C'est pour cela que j'ai naturellement tant d'affinités avec le "travail" (The Work) de Byron Katie, et l'approche non duelle Eric Baret, son yoga et ses textes magnifiques et tous ceux qui accordent une part importante au ressenti et à l'expérience directe dans leur enseignement ou accompagnement. C'est pour cela que je donne une si grande place aux jeux de révélation basées sur le ressenti lors des rencontres, des retraites et bien sûr des entretiens individuels et, qui permettent d'accueillir pleinement les émotions.

De toute façon que vous en soyez conscient ou non, que ce message résonne ou non, nous seront tous tôt ou tard confrontés aux émotions qui n'auront pas été pleinement écoutées.

Belles éclosions à tous"
 

Dan  SPEERSCHNEIDER

 

http://eclore-en-conscience.blogspot.fr/

Dan SPEERSCHNEIDER: "Le principal obstacle."
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:31
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:24

 

« Le Tantra est une voie naturelle : son but est d’être souple et naturel. Tu n’as pas besoin de lutter contre le courant : déplace-toi, flotte avec lui tout simplement. Le fleuve se dirige vers la mer, alors pourquoi lutter ? Déplace-toi avec le fleuve, deviens un avec le fleuve : lâche prise. L’abandon est le mot-clé du Tantra ; la volonté est le mot-clé du Yoga. Le Yoga est le chemin de la volonté ; le Tantra est le chemin de l’abandon.

Ainsi, le Tantra est le chemin de l’amour : aimer signifie lâcher prise. Ceci est la première chose à comprendre : c’est ainsi que les mots de Tilopa deviendront très, très clairs, parfaitement clairs. On doit comprendre les différentes dimensions du Tantra – la dimension verticale, la dimension de l’abandon, de ne pas lutter, d’être à l’aise et neutre, décontracté – ce que Chuang Tzu appelle : « ce qui est facile est juste ». Ce qui est difficile est propre au Yoga, ce qui est facile est propre au Tantra.

Détends-toi et sois à l’aise, on n’est pas pressé. Le Tout te porte de par lui-même. Tu n’as besoin d’aucun effort individuel, on ne te demande pas d’arriver avant l’heure, tu arriveras lorsque le moment sera propice – attends, tout simplement. Le tout bouge, pourquoi es tu pressé ? Pourquoi veux-tu arriver avant les autres ? »

Osho

Osho: "Abandon."
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:22
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:17

 

" La vie est ainsi. Vous ne pouvez pas vous y préparer, vous ne pouvez pas être prêt.

C'est cela sa beauté, son étonnement, elle vous surprend toujours.

C'est toujours une surprise.

Vous verrez que chaque moment est une surprise et qu'aucune réponse toute faite n'est jamais applicable. "


Osho 

 

https://www.facebook.com/OshoPageFrancophone/?ref=py_c

Citation du jour.
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:14
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:03

 J'étais assise tranquillement devant la télévision, pas vraiment intéressée par ce qui se déroulait sur l'écran lorsque que je vis remonter du fond de mon espace intérieure la mémoire d'une activité de loisir se déroulant dans ma jeunesse.

Cette scène n'a aucune importance événementielle dans la vie du personnage que j'incarne. Elle n'a eu aucune incidence sur "le destin" de la petite personne. C'était juste un moment paisible et harmonieux sur une petite embarcation qui glissait sur une rivière bordée d'une luxuriante végétation, ce genre d'instant où l'on s'efface devant la beauté du paysage porté par une silencieuse sérénité, mais sans vraiment en avoir conscience.

Mais là, aujourd'hui où l'image se présente en mon esprit, elle est vécue dans son entièreté. Il n'y a personne de particulier sur cette embarcation de bois flottant doucement sur une eau plutôt calme, il y a la vie qui se vit sans aucune séparation, l'Existence se vivant eau, arbres, ciel, terre, air, lumière... il n'y a qu'un mouvement qui dans sa mouvance vibratoire peut se caractériser au travers des divers éléments exprimant sa manifestation.

Au moment où la mémoire remonte elle est vécue dans sa globalité. Je suis ce mouvement uni qui se goûte en eau, je suis le clapotis des vagues venant mouiller l'embarcation en bois flottant sur la rivière, et je suis en même temps la coque de bois fendant le cours d'eau, je suis les arbres débordant de générosité tout au long de la rive, je suis le foisonnement de toutes une diversité de plantes venant s'abreuver dans l'eau, leurs racines plongeant goulûment dans la terre grasse et humide,  les tiges et les feuilles s'étirant et s'élançant vers le ciel pour en aspirer l'air et en capter la lumière. Je suis la terre sablonneuse du lit de la rivière et l'air traversé de quelques rayons de soleil filtrant à  travers le feuillage touffus des arbres. Je suis ce qui pénètre, enveloppe, respire, éclaire, agit et soutient tout ce paysage verdoyant. J'en suis le substrat immobile et heureux. 

Je suis le regard qui éprouve sa plénitude dans la multiplicité.

Je suis Un et absolument tout à la fois, je suis cette vie qui par la fréquence de son mouvement fait apparaître tout ce qui est sans jamais en être séparé ni troublé. Et même si je me sens être eau ou terre suivant la tonalité vibratoire de mon expression, je demeure Un dans mon essence paisible. Je ne suis jamais coupée de rien. Je contient tout en moi, cette mosaïque de couleurs peut s'effacer, je reste Cela : la transparence d'où tout se crée.  

A cet instant il n'y a pas quelqu'un qui vit quelque chose. Il n'y a aucune identification personnelle, il y la plénitude de la vie-une qui s'éprouve dans toute la gamme de son expression. L'immortalité se situe là, juste en amont de ce foisonnement exprimant la vie manifestée, juste avant ce frissonnement d'où apparaît la pluralité.

Ce vécu est d'une simplicité déconcertante. Toute l'accumulation de savoir ne sert quasiment à rien devant l'évidence de l'Êtreté. On dirait même que cela vient le déformer, au lieu de l'informer. D'autre part, ce qui se révèle par cette remontée de mémoire, c'est que cela se produit dans la vacuité et la vacuité se vit toujours dans l'unité quelque soit le rêve qui la traverse. 

A l'instant même on peut se dégager de la mémoire d'être un individu séparé (construit lui-même de plusieurs souvenirs s'imbriquant les uns aux autres, voire de plusieurs personnages en contradictions) en se vivant à partir de l'entièreté de l'existence d'où tout apparaît."

Domiji
 

http://lavieestleplusgranddesguru.over-blog.com/

Domiji: "Le substrat immobile et heureux. "
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11 novembre 2016 5 11 /11 /novembre /2016 11:00
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  • : Le blog de RV
  • Le blog de RV
  • : Bavardage sur le Tout en particulier et le Rien en général. Psittacisme sur Ce qui est. Textes , vidéos; citations, images sur la non-dualité (advaita védanta, shivaisme du Cachemire, soufisme, dzogchen, zen, chan, mystique chrétienne, néo advaita, éveillés sauvages, spiritualité laïque non-duelle,...)
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"Et ceci est ce qui arrive… lire ces mots, entendre des sons, ressentir, penser « alors, et après ? ». Et bien « après » est encore ceci ! la Vie étant simplement ce qui est… l’avènement dans l’anéantissement, la fin dans le commencement, le rien dans le tout."
                                                                                                                                                 Tony Parsons

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Le Paradis est déjà là !



"Nous prétendons que nous avons perdu la paradis seulement pour la joie de le retrouver à nouveau. Quand le paradis est retrouvé , il est réalisé qu' il n' avait jamais été perdu.
Mais aussi longtemps que nous cherchons le paradis, il est impossible de remarquer qu'il est déjà là."
                                                                                                                                         Richard Sylvester

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Relaxe toi, tu es déjà arrivé !

Vous imposez des limites à votre véritable nature d'être infini, puis vous vous désolez de n'être qu'une créature limitée, ensuite vous mettez en œuvre des pratiques spirituelles pour transcender ces limites inexistantes. Mais si votre pratique même implique l'existence de ces limites, comment pourraient-elles vous permettre de les transcender ?        

                                                                                                                                              Ramana

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